dimanche 2 février 2020

Sens dessus-dessous (1/4)...


Maîtresse s’est rhabillé et nous avons quitté Monsieur G. rapidement.
Arrivés à la maison, direction la douche. Léa m’indique de me mettre à genou... j’ouvre la bouche et je reçois son offrande à quelques centimètres de son sexe... 
le temps de préparer à quelques affaires ou plutôt quelques accessoires, de prendre quelque chose au Drive in du McDo, nous voici répartis. Maîtresse a donné rendez-vous à Monsieur J. à 20h dans un appartement lyonnais loué pour la circonstances. 
Nous arrivons à l’appartement avec un peu d’avance. Je commence à me préparer en kali féminisée. Maitresse m’interrompt : “j’ai changé d’avis, nous allons restés ici ce soir. Va te mettre à genoux dans la douche pour attendre Monsieur J, tu mettras tes bas et ta nuisette plus tard...”
Je m’exécute et m’installe dans la salle de bains dans une semi obscurité. Je suis entièrement nu, seulement vêtu de ma cage de chasteté (bientôt 1 mois d’abstinence).Quelques minutes plus tard, j’entends la porte d’entrée se refermer. Ce ne devrait plus être très long...En effet, ils pénètrent dans la salle de bains, Maitresse sublime dans une guêpière porte jarretelle noire, Monsieur J, quand à lui, déjà entièrement nu et pressé de passer à l’action...
Il se dresse devant moi, toujours à genou, et je n’ai d’autre alternative que d’ouvrir la bouche pour avaler son sexe et le faire durcir... il me tient la tête solidement et je ne peux pas me soustraire au mouvement de va et vient qu’il m’impose sans ménagement. Il me maintient contre lui et suis obligé d’ouvrir grand la gueule. Je sens son gland au fond de ma gorge, je bave, je suis au bord de la nausée mais je le suce frénétiquement, car je suis une bonne petite fiotte obéissante et j’aime que Maitresse me voit volontaire et appliquée lorsqu’elle m’autorise des relations homosexuelles 
Monsieur J. se retire de ma bouche et m’offre ses couilles. Je les mordille et les avale à tour de rôle. Il semble apprécier. Je suis littéralement en train de lui bouffer les couilles lorsque je sens un liquide chaud couler contre ma joue. Je suis surpris car nous n’avions jamais pratiqué de plan uro ensemble. Je reprends son sexe en bouche pour recevoir son jus à la source... le jet se tarit rapidement. Il est surpris, je devine que pour lui sans doute, c’est la première fois qu’il urine sur un mec. Surpris mais conquis visiblement.
Monsieur J et Lea on regagné la chambre tandis que je me rince et je m’habille pour les rejoindre. Bas, escarpin, nuisette... je les retrouve quelques instant plus tard déjà collés l’un contre l’autre...
La soirée est bien lancée !

La 1ère fois où j'ai conduit mon épouse chez son amant

Samedi 1er février. 

Je suis en cage depuis le 3 janvier dernier pour une durée indéterminée m’a informé Maîtresse. Notre mois de janvier a plutôt été sage en raison d’un agenda professionnel dense. Je sens mon épouse impatiente de retrouver ces habitudes de Maîtresse perverse. Et pour oublier un mois de janvier un peu trop calme côté bdsm, Léa a décidé de mettre les bouchées doubles dès aujourd’hui. 
J’écris ce post depuis la salle d’attente du cabinet de monsieur G, qui est l’amant de mon épouse depuis bientôt un an... 
Léa cocufieuse avec Monsieur G...  

c’est la 1ère fois que Maitresse m’invite à la conduire et à l’attendre pendant qu’elle se fait sauter...
Cela fait 20 minutes qu’elle l’a rejoint a l’intérieur. Je suis seul dans la salle d’attente, la nouille gonflée, serrée dans ma cage de chasteté. Je suis à quelques mètres d’eux, au point de parfaitement distinguer derrière la paroi, leurs soupirs, leurs baisers, et les va-et-vient fougueux de monsieur G. en train culbuter ma merveilleuse épouse.
J’imagine Léa, qui attendait ce moment avec impatience, s’abandonner sans réserve à son amant. 
Me voilà à nouveau cocu, pour la 1ère fois en 2020. Maîtresse devient totalement amorale. J’adore ça et quelque chose me dit que ce n’est qu’un début!
.... 30 minutes... le fond musicale de la salle d’attente ne parvient pas à couvrir les bruits de leurs ébats quand ceux-ci s’emballent. Je suis véritablement devenue une vraie lope, accro aux humiliations, accro au cocufiage, accro au pegging, accro à la féminisation.... 
.... une heure plus tard, la porte s’entrouve, Monsieur G apparaît devant moi, entièrement nu et en sueur, le sexe parfaitement dressé. Je m’approche et découvre Maitresse allongée sur la table de manipulation. J’ai envie de lui lécher la chatte et de sentir la chaleur de son sexe que mon cocufieur vient de chevaucher. En vain. Le ventre de Léa est totalement recouvert de sperme. Maîtresse m’ordonne de me mettre à genou et de la nettoyer entièrement. Je m’exécute volontiers et avale la copieuse giclée au goût légèrement amer...
Je remercie Maîtresse, heureux de mon statut renouvelé et lope cocue et ce n’est qu’un début!
La suite du week end s’annonce piquante également. Maîtresse m’a demandé d’être totalement lisse et épilé car elle me souhaite disponible en kali femelle pour la soirée. 
Au programme, sortie en club privé (le Diamant bleu) pour une soirée coquine ouverte trav et trans... Maîtresse sera accompagnée de monsieur J, un très joli garçon avec lequel nous finirons la nuit dans un appartement réservé tout à côté du club. Monsieur J est bi et nul doute qu’il se fera une joie de me cocufier avant de faire de moi une femelle... 
la suite dans le prochain post !!!!

jeudi 6 septembre 2018

Maîtresse offre le cul de sa lope à la Fistiniere

L'année 2018 restera marquée par une expérience à nulle autre pareille. La découverte, avec Lady Léa, de la Maison d'hôte La Fistinière, qui comme son nom l'indique est dédiée à la pratique du fist.
Si Maîtresse me fiste allègrement depuis longtemps maintenant, je sais qu'il me reste du travail (et de la patience) pour atteindre une dilatation anale plus importante qui lui permettrait, par exemple, de me faire un fist à 2 mains. Ma petite chatte anale, bien que desserrée par Maîtresse, était toujours restée impénétrable aux mains de garçons...  ce à quoi Maîtresse, visiblement, avait bien l'intention de remédier.
Après avoir établi le contact l'an dernier pour s'assurer que cet établissement plutôt orienté gay, était également hétéro friendly, nous avons découvert la Fistinière au printemps dernier. Ce fut un tel enchantement que Maîtresse m'y a reconduit la semaine dernière pour terminer les vacances par un déluge de luxure anale afin d'élargir mon trou de lope.
Je pense que les mots ne parviendront jamais à décrire la force des sensations qui m'ont envahies quand le poing de François puis celui de Juan ont fait sauté le verrou. Avec un doigté doux et ferme à la fois, ils ont rapidement, et sans guère de difficultés finalement, pris possession de mon cul, sous les yeux de ma Maîtresse que je ne voulais évidement pas décevoir. Alors certes la première fois, je crois avoir crier comme un cochon qu'on égorge tellement la sensation de remplissage était puissante, inattendue et jouissive.
Le spectacle, autour de moi, d'autres mâles habitués des lieux et hyper dilatés, qui encaissaient des va-et-vient puissants était stimulant et un peu irréel pour le novice que j'étais. Je découvrais grâce à Maîtresse, un univers qui j'en suis sûr, va nous devenir familier et surtout qui va permettre à Maîtresse de repousser les limites de sa lope.
Dans la Chapelle Fistine, je passais du sling à la table balançoire puis au banc à fister avant de revenir offrir encore mon cul au sling. Par devant, par derrière, par Maîtresse, ses poings, son gode extrême, ou par les poings des garçons, la soirée ou plutôt la nuit avançait et je n'étais plus qu'un trou, souple et avide de nouvelles insertions toujours plus grosses...
Maîtresse avait découvert un lieu de rêve pour une salope de mon espèce. Je pouvais y être exhiber sans réserve dans ma conditions de mâle soumis à ma délicieuse Maîtresse, qui par ailleurs ne laissait pas indifférent les mâles présents qui la sollicitait pour se faire, à leur tour, fister par ses délicieuses petites mains... 
Bref notre deuxième visite à la Fistinière a totalement confirmé l'impression de bien-être absolu qui flotte dans ce lieu hors du temps. Pendant 2 jours je me suis senti une vraie fiotte sans couille, totalement concentrée sur le plaisir que je peux donner et recevoir avec mon cul. J'ai une idée fixe, y retourner et y retourner encore pour progresser dans tous les domaines sous les ordres de Maitresse.

lundi 12 février 2018

Soirée Trav'



Lorsque nous sommes arrivés à l’appart’, Pamela était déjà à quatre pattes sur le lit... Maîtresse Léa m’ordonna de la rejoindre et rapidement je me retrouvais à ses côtés, le cul à l’air et une queue dans la bouche. 2 mecs pour 2 trav’... la soirée s’annonçait bien ! « Regarde-moi ces deux salopes » furent les derniers mots que Maîtresse prononça avant de s’installer dans la pièce voisine pour papoter avec Maîtresse Cassandre.
La caméra et l’ordinateur présents dans la chambre ne laissait guère de doute. La séance serait filmée en « live » et diffusée sur le net et c’est ainsi que ma Maîtresse allait mater sa lope de mari faire devenir une vraie femelle.

J’étais décidé à ne pas décevoir Milady. Maîtresse me faisait un immense cadeau en m’offrant cette soirée. Dévirilisé, féminisé, ma nouille de sous-mâle encagée et inutile, je me devais de montrer à Maîtresse Léa ma gratitude pour l’éducation de lope à laquelle elle me destine irréversiblement.

Très rapidement je me mis dans l’ambiance. Je me sentais très salope et la température monta encore un peu quand S... me cambra au maximum pour astiquer mon petit trou de femelle avec sa langue. Il aimait baiser les trav’ visiblement et je m’abandonnais aux doux plaisir qu’il me procurait. La suite fut délicieusement classique : longue et profonde fellation avant prise à 2, une bite dans le cul, une autre dans la bouche. Il y avait longtemps que cela ne m’était pas arrivé et je sus, une nouvelle fois, que j’étais, grâce à Maîtresse Léa sur le bon chemin, celui qui transforme définitivement les maris en sous-mâles, les sous-mâles en lopes, les lopes en femelles, les femelles en mari cocu, le mari cocu en esclave sexuel...

Pendant ce temps, S... continuait de m’enculer avec vigueur. Il était endurant le bougre et ma chatte anale semblait lui convenir. Il m’agrippait par les épaules et je comprenais vite qu’il ne me lâcherait pas avant de s’être vidé les couilles dans mon cul. Il me maintenait la tête sur la bite de son pote et je passe ainsi un long moment totalement embroché par 2 queues qui me remplissaient avec gourmandise. Je sentis le moment où les va-et-viens devinrent plus saccadés, et annonciateurs d’une libération prochaine.  Dans un ultime et puissant coup de rein, je le sentis se vider dans la capote et il se retira en me prévenant qu’il n’en avait pas fini avec moi et qu’il souhaitait joué une deuxième partie dans mon cul.
En me relevant, je croisais mon visage dans le grand miroir qui faisait face au lit. J’étais décoiffée mais profondément femelle sauvage, prête à tout pour avoir encore de la bite dans sa chatte et montrer à ma Maîtresse les bienfaits de son dressage.

Après la pause pizza... je me retrouvais à nouveau la tête en bas, le cul en l’air avec la langue de S... qui me fourrait l’anus. J’entendis une première fois ma Maîtresse m’appelé pour me signifier qu’il était l’heure de partir mais je ne bougeais pas espérant sa clémence. Elle entra dans la chambre et quand elle me vit ainsi désobéissante, elle m’agrippa pleine de colère, par un téton et une aisselle, et m’arracha un cri de douleur en me pinçant de toutes ses forces. S... comprit qu’il devait lâcher mon cul de chienne en chaleur qui s’offrait à lui. J’étais très fier de l’intervention de ma Maîtresse qui marquait publiquement son emprise sur sa lope mâle. Je la recevais comme une humiliation nécessaire pour rappeler mon appartenance à Maîtresse....


2018 : les nouvelles règles de kali, la lopette castrée




jeudi 23 novembre 2017

lope un jour... lope toujours....

5ème anniversaire de mon engagement de soumis en vue de devenir une véritable lopette castrée, humble et reconnaissante envers sa Maîtresse, Lady Léa

1/ J’implore Milady d’accepter le renouvellement de mon vœu de chasteté et de tendre vers une utilisation ZÉRO de ma nouille. La lope sera régulièrement encagée du lundi matin au vendredi soir non stop. La libération du week end  sera sous le contrôle de Milady notamment pour le toilette intime.
2/ La lope renonce à  se masturber et à éjaculer comme un mâle et souhaite que les prérogatives phalliques soient définitivement et entièrement transférées à sa Maitresse qui pourra l’enculer ou le faire enculer en vue de la rendre totalement dépendante au sexe anal.
3/ La lope renonce de fait à toute relation hétérosexuelle pour le restant de ses jours et accepte de mettre son cul sous le contrôle intégral de sa Maîtresse . 
4/ La lope renonce à toute contestation auprès de sa Maîtresse qui pourra le cocufier et l’humilier sans aucune limite. Son état de mari soumis et féminisé (selon les désirs de Milady) sera mis en exergue afin de permettre à de vrais mâles de satisfaire Milady en toute connaissance de cause.
5/ Les humiliations de la lope seront photographiées et le cas échéant publiées afin d’attester de l’éducation en cours et de rendre totalement vaines les velléités éventuelles de la lope de se soustraire à sa condition. 
6/ Privé de ses droits sexuels, le soumis devra naturellement redoubler d’attention pour sa Maîtresse et la satisfaire en toute circonstance par ses caresses manuelles ou buccales. En particulier, il est précisé le rituel au réveil de Milady : la lope devra chaque matin lécher délicatement l’anus de Sa Maitresse, se préparant ainsi quotidiennement à son rôle de cocu nettoyeur...
7/ La lope devra également rendre compte des efforts qu’elle produit pour mériter les attentions de sa Maîtresse. En particulier, elle portera une attention particulière à entretenir une épilation soignée et intégrale du corps, à l’exception d’une toison pubienne qui sera soigneusement conservée pour parfaire la femellisation.
8/ Les bourses de la lope seront vidées exclusivement par l’usage anal. La lope devra également permettre à sa Maîtresse d’attester de ses progrès de dilatation.
Ainsi la lope devra régulièrement s’empaler sur son black mamba XL de 6 centimètres de diamètre. La photo ci-dessous a été prise par Milady le 19/11/2017 alors qu’elle m’avait demandé de lui offrir le spectacle de ma chatte distendue pendant qu’elle même se donnait un orgasme avec son joujou favori. Je me suis ainsi astiqué la chatte jusqu’à ce que s’échappe de ma nouille le liquide attestant de la libération de ma jouissance prostatique...
en train de m'astiquer devant mon épouse et Maitresse
J’ai adoré ce moment... j’ai adoré sentir ma chatte humide et ouverte toute la nuit... Ce matin quand je me suis réveillé et tandis que je léchais ma Maîtresse, je sentais ma croupe levée et tendue, prête à recevoir un nouveau un pieu et à jouir dans une dilatation extrême... 
Milady exigea que le lèche les gouttes de sperme échappées sur le sol et figea la scène de mon addiction à la bite noire...

devenir la pute d'une belle queue black ou rebeu